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blog recherche commentaires (1) capture d’un nouvel essaim. bonjour ! au cours de l’après midi et avec une chaleur écrasante, je suis allé au rucher pour vérifier la présence d’éventuels essaims. cette visite était des plus concluante. en effet, un petit essaim avait élu domicile dans une ruchette piège installée à cet effet. l’autre point positif, est que cette essaim n’est pas issus d’une des ruches sur place. comment le savoir ? en fait, c’est difficile de savoir d’où vient un essaim sans ouvrir la dizaine de ruches présentes sur le site. dans mon cas, cette ouverture était inutile et pour cause : il ne s’agit pas de la même espèce d’abeille ! dans le rucher il n’y a que des abeilles noires (apis meliffera meliffera) cette abeille est totalement noire. par contre, toutes celles vues sur la planche d’envol de la ruchette piège arborent de belles couleurs jaunes. j’ai pas le niveau pour identifier cette sp, mais c’est pas grave. le principal est qu’il provient de l’extérieur du rucher ! et voici une petite photo : installer une ruchette piège : pour essayer de capturer un essaim, voici quelques points à respecter. tout d’abord, il est préférable d’utiliser une ruchette ayant déjà accueilli des abeilles. (ruchette qui exhale des odeurs qu’apprécient les abeilles) dans cette ruchette, il faut passer un petit coup de lampe à souder. le but recherché est double : détruire toute source de contamination, et rendre encore plus fortes les odeurs de cette ruchette. a l’intérieur de cette ruchette, il faut placer quelques vieux cadres de cire noirci, que l’ont peut alterner avec des cires neuve gaufrées. on peut également mettre de l’attire essaim, qui dégage une forte odeur. ce produit s’applique sur la planche d’envol, la tête des cadres, ou sur les parois intérieures. une fois la ruchette prête, la placer dans un endroit qui est ombragé en milieu d’après midi puis… attendre ! poser cette ruchette au niveau d’un endroit où s’est déjà posé un essaim est un sacré plus. bonne soirée ! -- posté dans apiculture 22 h 39 min commentaires (0) ouverture de la ruche n°2 bonjour ! et non, je n’ai pas oublié ce blog. c’est que j’étais en plein changement de fournisseur d’accès internet et ma ligne vient tout juste d’ être activée… la semaine dernière, je suis allé vérifier l’activité de ma ruche n°2 (la ruche des « bleues »). la visite s’est bien passé, et voici ce qu’il en ressort : - trois cadres de couvain en bonne état. - les 8 cadres étaient construits en quasi totalité j’ai donc ajouté les deux cadres de cire neuve qu’il me manquait. place aux photos prises par ma ptite femme. bonne journée, et si tout va bien, je reviendrais avec d’autres articles prochainement. je suis en repos quatre jours, et je dois aller voir deux essaims cachés dans des combles ! -- posté dans apiculture 14 h 26 min commentaires (0) quelques nouvelles de la ruche n°2 bonjour, avec ces quelques éclaircies et les températures supérieures à 17°c, je suis allé rendre une visite à la ruche installée dans le rucher de l’apiculteur qui me forme. l’objet de la visite : vérification de la ponte. j’ai donc ouvert cette ruche, et constaté que les cadres du centre étaient soudés entre eux (pas mal de pont de cire). après avoir désolidarisé ces cadres, j’ai pu commencer ce que j’étais venu faire. le verdict : sur les huit cadres de la ruche : - les deux extrémités ne sont pas bâtis. (j’ai donc laissé tel quel, et je n’ai pas ajouté de cadres) - les trois cadres centraux sont dans leur quasi intégralité remplis de couvain operculé. - les cadres restant sont remplies de miel, et de pollen. la visite est donc concluante, et avec un tel couvain, je peux en déduire que la reine est jeune. comment savoir que la reine est jeune, et pourquoi c’est important ? la reine est le moteur de la ruche. c’est grâce à elle que l’essaim se développe et comme en pleine saison les abeilles ne vivent pas très longtemps, il est primordial que les naissances soient fréquentes. pendant les beaux jours, elle pond jusqu’à 2500 oeufs par jour. lorsque la reine vieillie, sa ponte diminue et ce phénomène peut entrainer la mort de la colonie (ex : manque d’ouvrières avant le début de l’hiver). pour éviter cela, on peut forcer la colonie à créer une nouvelle reine en tuant l’ancienne, ou tuer la reine et la remplacer par une achetée dans le commerce. pour identifier une veille reine, il faut observer le couvain. s’il est dense et régulier, la reine est excellente. si le couvain et dispersé la reine doit être changée (on parlera de remérage). voici quelques photos pour mieux comprendre. le couvain est dense. très peu d'alvéoles vides. image tirée du site : http://apiculture-populaire.com le couvain est bien moins dense, ponte irrégulière. un remérage s'impose. image tirée du site : http://www.apivet.eu/ mes cadres de couvain rassemblés à la première photo, et c’est tant mieux ! c’est tout pour aujourd’hui. bon week-end ! -- posté dans apiculture 16 h 49 min commentaires (2) visite de la première ruchette. bonjour, la semaine dernière, j’ai posté un article concernant le second essaim que j’ai capturé. hier, profitant du dernier jour de beau temps, je suis allé voir la première ruchette que j’ai installé afin de la transvaser en ruche définitive. j’ai procédé de la même façon que la semaine dernière, sauf que je n’ai pas partitionné. la raison est simple, les cinq cadres étaient construits. pour cette opération, j’ai reçu l’assistance de mon père qui découvrait l’apiculture. cette ruche est d’ailleurs la sienne, mais c’est moi qui m’en occupe. on regardant ce cadre d’un peu plus près, j’ai constaté la présence de couvain fraichement operculé. j’ai entouré la zone sur la photo suivante. sur les autres cadres, j’ai vu de nombreux œufs, installés régulièrement dans les alvéoles. je retournerai en fin de semaine surveiller tout çà. les choses évoluent donc tout doucement. parmi les travailleuses, erraient quelques faux bourdons à la recherche du gite et du couvert. pourquoi ? car les mâles volent de ruches en ruches, et sont généralement bien acceptés. lorsque arrive le mois d’aout voire septembre, ils sont éliminés pour éviter des surconsommations inutiles des réserves alimentaires. les cadres mis en place, j’ai installé le nourrisseur avec un peu de sirop pour les booster un peu. forcément, cinq nouveau cadres à construire, çà demande de l’énergie. a l’issue : fermeture de la ruche. voici le résultat (çà change du carton avec les agglos empilés) : l’activité a vite repris, et ce changement de ruche ne les a pas dérangées plus que çà. bonne journée ! -- posté dans apiculture 12 h 07 min commentaires (2) première visite, et changement de ruche. bonjour, après la capture de l’essaim n°2, j’ai attendu environ 36 heures pour les placer dans leur ruche définitive. la raison est simple, je n’avais plus de ruchette de disponible. j’en ai profité pour faire découvrir tout cela à mon frère, qui passait le week-end à la maison. la méthode : pour passer d’une ruchette à une ruche, la méthode est assez simple. on place des partitions dans la ruche pour réduire la place disponible puis on déplace les cadres dans la ruchette pour les replacer à la même place dans la ruche. a l’issue, la ruche prend la place de la ruchette pour éviter que les abeilles se perdent. en effet, avec leur sens de l’orientation, il est impératif de déplacer la ruchette le moins possible faute de quoi, les butineuses reviennent à l’emplacement initiale. voici quelques photos des opérations. je n’ai pris la photo que de trois cadres. les deux restantes sont identiques aux premières photos. une belle symétrie ! aucune piqure à déplorer, les abeilles étaient vraiment calmes. des perles ! pour finir, une petite photo d’une partie du rucher. ma ruche est celle de couleur grise. a l’issue, retour à la maison. mon frère a apprécié ! bonne journée ! -- posté dans apiculture 13 h 01 min commentaires (0) deuxième capture. bonjour, je ne pensais pas capturé un deuxième essaim si rapidem